Exemple de gaz de schiste

Il y a eu des cas de migration de méthane, de traitement inadéquat des eaux usées récupérées et de pollution par des puits de réinjection. Sous-sol précambrien. La Commission pétrolière et gazière du Colorado maintient un site Web avec des liens vers ses politiques. George P. Mais il nécessite moins de béton, est un tiers comme grand, et est présent pour seulement 30 jours au lieu de 20 à 30 ans. L`étude la plus complète des fuites de méthane du gaz de schiste à ce jour, initiée par le Fonds pour la défense de l`environnement (FED) et libérée dans les actes de l`Académie nationale des sciences le 16 septembre 2013 [46], conclut que les émissions fugitives dans les étapes clés de la le processus de production de gaz naturel est nettement inférieur aux estimations de l`inventaire national des émissions de l`EPA (qui sont déjà assez faibles). Les auteurs ont conclu que, conformément à la plupart des études publiées pour d`autres régions, le gaz de schiste au Royaume-Uni aurait un potentiel de réchauffement planétaire «globalement similaire» à celui du gaz de la mer du Nord conventionnel, bien que le gaz de schiste ait le potentiel d`être plus élevé si les émissions fugitives de méthane ne sont pas contrôlées, ou si les recouvrements finaux par puits au Royaume-Uni sont faibles. Et alors que les régions comme la Pennsylvanie ont connu une augmentation absolue de la demande en eau pour la production d`énergie grâce à la perche de schiste, les puits de schiste produisent en fait moins de la moitié des eaux usées par unité d`énergie par rapport au gaz naturel conventionnel. La décision a attiré l`attention parce que New York, qui fait partie de la région de Marcellus shale, possède d`importantes réserves de gaz naturel.

Le shale est un mudrock sédimentaire à grains fins, composé principalement de flocons de divers minéraux argileux, et comprenant de minuscules fragments de quartz, de calcite, d`autres minéraux et de matières organiques. Le gaz de schiste est le méthane (gaz naturel) qui est piégé dans la roche de schiste imperméable profondément souterraine, contrairement au gaz naturel conventionnel qui est dans les roches perméables, comme le grès. À partir de 2001, le nombre moyen de tremblements de terre par année de magnitude 3 ou plus a augmenté significativement, culminant par une augmentation de six fois en 2011 sur les niveaux du 20e siècle. L`Amérique du Nord a été le chef de file dans le développement et la production de gaz de schiste. Ainsi, par exemple, la plupart des jeux de gaz de schiste aux États-Unis sont loin moins profonds que ceux indiqués dans le bassin de Karoo en Afrique du Sud (prévu à 3km). Le papier Howarth était «gravement vicié» parce qu`il «surestimait sensiblement les émissions fugitives associées à l`extraction de gaz non conventionnelle, sous-valorisant [s] la contribution des «technologies vertes» à la réduction de ces émissions à un niveau approchant celui du gaz conventionnel, la base [s] leur comparaison entre le gaz et le charbon sur la chaleur plutôt que la production d`électricité (presque la seule utilisation du charbon), et supposent [s] un intervalle de temps sur lequel calculer l`impact climatique relatif du gaz par rapport au charbon qui ne capter le contraste entre le temps de séjour prolongé du CO2 et le temps de résidence court du méthane dans l`atmosphère. Une partie du gaz produit est maintenue dans les fractures naturelles, certains dans les espaces interstitiels, et certains sont adsorbés sur la matière organique. Les gisements de gaz de schiste sont généralement plusieurs milliers de pieds sous terre. Ce document provient de http://www.

Ce document provient de http://keeptapwatersafe. Examen rétrospectif du développement du gaz de schiste aux États-Unis «. Le gaz non conventionnel fait référence au gaz naturel qui exige des méthodes de production avancées. Pour les zones arides, l`utilisation potentielle de l`eau de mer comme composant de base dans le liquide FRAC est sérieusement envisagée. Environmental Protection Agency [41] a publié un nouveau rapport, la première mise à jour sur les coefficients d`émission des émissions de gaz à effet de serre par l`EPA depuis 1996, par l`industrie pétrolière et gazière.

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